J’ai appelé le boulanger,
qui réparait l’évier.
J’ai appelé le pharmacien,
qui soignait des chiens.
J’ai appelé le fermier,
qui soignait un bébé.
J’ai appelé le maître,
qui faisait une fête.
EMMA.
J’ai appelé le marchand,
il chantait des chants.
J’ai appelé le boucher,
et il marchait à cloche pied.
J’ai appelé le banquier,
qui faisait voler des billets.
Alors je m’en suis allé,
J’ai vu le pâtissier,
et il mangeait des scarabés.
J’ai vu l’épicier,
et il mangeait des épées.
J’ai vu le pharmacien,
qui promenait son chien.
Puis me penchant encore.
J’ai vu le policier bien se régaler.
SACHA
J’ai appelé la pâtissière,
elle a cassé un verre.
J’ai appelé le marchand,
il se lavait les dents.
J’ai appelé la coiffeuse,
elle était heureuse.
Alors je m’en suis allée.
MAËLYNE.
J’ai appelé le boucher,
il voulait me parler.
J’ai appelé le pharmacien,
il promenait Nospy son chien.
J’ai appelé un pompier,
qui essayait de voler.
Alors je me suis en allé,
J’ai vu le boulanger,
qui mangeait des billets.
J’ai vu un gendarme,
sans ses armes.
J’ai vu l’épicier,
qui mangeait des beignets.
Puis j’ai vu des gens mécontents car ils ne voyaient rien.
LÉANDRO.
J’ai appelé le marchand,
il faisait du toboggan.
J’ai appelé le docteur,
il n’était pas à l’heure.
J’ai vu le pompier,
il avait 4 pieds.
Alors je m’en suis allée,
J’ai vu la factrice,
qui mangeait des saucisses.
Puis me penchant encore.
J’ai vu l’infirmière,
qui prenait l’air.
Puis j’ai vu des gens mécontents car ils ne voyaient rien.
LOU.
J’ai appelé la bibliothécaire,
elle était en l’air.
J’ai appelé le pompier,
il n’avait pas pied.
J’ai appelé l’infirmière,
elle a allumé la lumière.
Alors je m’en suis allé,
J’ai vu l’assureur,
qui ne regardait pas l’heure.
J’ai vu le gendarme,
avec aucune arme.
J’ai vu la fleuriste,
qui parlait au garagiste.
J’ai vu l’esthéticien,
courir après le chien .
Puis me penchant encore.
J’ai vu une caissière,
qui lançait une salière.
Puis j’ai vu des gens mécontents car ils ne voyaient rien.
TOM.
J’ai appelé le docteur,
il regardait l’heure.
J’ai appelé le pompier,
il se cassait le pied.
J’ai appelé la coiffeuse,
elle marchait dans la Creuse.
Alors je m’en suis allé,
J’ai vu la serveuse,
tellement furieuse.
J’ai vu le marchand,
courir dans un champ.
Puis me penchant encore.
J’ai vu le caissier,
manger ses souliers.
Puis j’ai vu des gens mécontents car ils ne voyaient rien.
LOUIS.
J’ai appelé le poissonnier,
il ne faisait que de crier.
J’ai appelé le pompier,
il mangeait ses souliers.
J’ai appelé la maîtresse,
elle se faisait des tresses.
Alors je m’en suis allé,
J’ai vu le gendarme,
il mangeait son arme.
J’ai vu le pharmacien,
il caressait son chien.
Puis me penchant encore.
J’ai vu le caissier,
il me volait mes souliers.
J’ai vu le boucher,
il voulait me soigner.
Chemin faisant.
J’ai vu la caissière,
elle essayait de monter le lampadaire.
J’ai vu le coiffeur,
il n’était pas à l’heure.
J’ai vu le garagiste,
il regardait sa liste.
J’ai vu le marchand,
il cultivait son champ.
Puis j’ai vu des gens mécontents car ils ne voyaient rien.
ELWANN.
J’ai appelé l’esthéticienne,
elle n’en faisait que des siennes.
J’ai appelé la doctoresse,
car elle n’aimait pas les caresses.
J’ai appelé la boulangère,
car j’avais besoin d’air.
Alors je m’en suis allée,
J’ai vu la sage-femme,
qui soignait une dame.
J’ai vu un facteur,
qui faisait le farceur.
j’ai vu la bibliothécaire,
elle avait le nez en l’air.
Puis me penchant encore.
J’ai vu la pâtissière,
les souliers en l’air.
Chemin faisant.
J’ai vu la marchande,
elle n’était pas méchante.
J’ai vu l’épicière,
elle était par terre.
Puis j’ai vu des gens mécontents car ils ne voyaient rien.
LILWEN.
J’ai appelé la fleuriste,
qui m’a dit je suis la piste.
J’ai appelé le boulanger,
qui faisait voler des pieds.
J’ai appelé la bouchère,
qui chantait en l’air.
Alors je m’en suis allé,
J’ai vu l’assureur,
qui m’as promis le bonheur.
J’ai vu le postier,
qui essayait de voler.
J’ai vu la maîtresse,
qui parlait à Inès.
CLÉMENCE.
J’ai appelé l’infirmière,
elle débouchait les toilettes.
J’ai vu la bouchère,
elle débouchait les cheminées.
J’ai vu l’esthéticien,
qui mangeait des chiens.
Alors je m’en suis allée.
ALICIA.
J’ai appelé le coiffeur,
il faisait le voleur.
J’ai appelé le pompier,
il cassait tous mes souliers.
J’ai appelé le gendarme,
il jouait avec les gendarmes.
Alors je m’en suis allé,
J’ai vu le moissonneur,
qui cherchait des choux-fleurs.
J’ai vu la bouchère,
elle cherchait des têtes.
J’ai vu la poissonnière,
elle mangeait des sucettes.
Puis me penchant encore.
J’ai vu le garagiste,
qui grillait des saucisses.
J’ai vu un serveur,
avec ses sœurs.
Chemin faisant.
J’ai vu le caissier,
il jetait des nez.
J’ai vu le facteur,
avec un serveur.
Puis j’ai vu des gens mécontents car ils ne voyaient rien.
GUÉNOLÉ.
J’ai appelé le banquier,
qui rêvait du pâtissier.
J’ai appelé la coiffeuse,
elle était malheureuse.
J’ai vu la maîtresse,
qui tenait une laisse.
J’ai vu un gendarme,
avec une arme.
J’au vu la caissière,
qui a le nez à l’envers.
Alors je m’en suis allée,
TALIA.
J’ai appelé le caissier,
il se faisait raser.
J’ai appelé le facteur,
c’était le clown farceur.
J’ai appelé le gendarme,
il ressemblait à une arme.
Alors je m’en suis allé,
J’ai vu le garagiste,
il brûlait toutes ses listes.
J’ai vu l’assureur,
c’était Scream le joueur.
SEAN et MAËLY.
J’ai appelé le garagiste,
il courait sur la piste.
J’ai appelé le gendarme,
il avait une arme.
J’ai appelé le pompier,
il avait mal au pied.
Alors je m’en suis allé.
JULES.
J’ai appelé un épicier,
il m’a dit faut payer.
J’ai appelé le banquier,
il m’a dit ne sois pas inquiet.
J’ai appelé la cuisinière,
elle m’a dit que je prenne de la bière.
Alors je m’en suis allé,
J’ai vu un youtubeur,
il n’avait pas de cœur.
J’ai vu un pompier,
il n’avait pas de pied.
Puis me penchant encore.
J’ai vu une caissière,
elle n’avait pas de calcaire.
DAVON.
J’ai appelé le pompier,
il marchait à cloche pied.
J’ai appelé la serveuse,
elle était malheureuse.
J’ai appelé un gendarme
qui buvait des larmes.
Alors je m’en suis allé,
J’ai vu le gendarme,
en train de gendarmer.
J’ai vu le serveur,
qui était entrain de manger un ordinateur.
J’ai vu la bouchère,
qui jetait une pierre.
J’ai vu un épicier,
jeter ses souliers.
Puis me penchant encore,
J’ai vu le poissonnier,
en train de jeter ses pieds.
CATALEYA et NOÉ.